Lettre ouverte, en particulier à tous les détenteurs d’une parcelle d’autorité publique, et, à l’attention de tout citoyen digne et responsable qui participe à diffuser la dénonciation des crimes contre l’humanité au sein des institutions.
Relance en suite à la lettre diffusée le 21 avril 2024
OMS sous contrôle d’intérêts privés :
Il va falloir redoubler d'effort pour imposer le fait qu'il n'appartient pas à des officines privées mercantiles et fanatiques de décider du destin de l'humanité... |
Dénonciation du Projet du traité OMS perpétuant les crimes contre l’humanité. (1)
Les lobbyistes siégeant à l’OMS que sont le Directeur TEDROS ADHANOM GHEBREYESUS et le coprésident ROLAND DRIECE du conseil de négociation du traité de l’OMS, représentant le commerce criminel de BIG PHARMA, BIG FINANCE, BIG DATA, ont conclu que les pays étaient incapables de s’entendre sur la proposition d’un projet commun.
Suite à cette déclaration, il s’avère indispensable de resituer le contexte dudit projet de traité en faisant preuve de discernement afin d’écarter tout esprit propagandiste malfaisant qui est devenu la norme de communication ces dernières années.
Si certains pays ont donc contribué à l’échec des négociations du traité OMS, il est évidemment mensonger d’invoquer que c’est par leur incapacité à proposer un projet. En réalité ces pays sont parfaitement conscients que le projet très orienté, liberticide au plus haut degré, avait pour conséquence leur soumission totale et inconditionnelle à des officines illégitimes privées décidant arbitrairement de la programmation de « pandémies » en fonction d’intérêts, d’idéologies et d’un scientisme sans commune mesure avec une véritable politique de santé publique.
L’escroquerie au virus COVID-19, qui n’a jamais été isolé, pour imposer des injections de produits expérimentaux sur les populations cobayes témoigne de la capacité de nuisance de ces organisations illégitimes ayant infiltré les Etats pour les associer à leurs stratagèmes pernicieux par des campagnes de mesures liberticides et délétères dans un climat anxiogène soutenu, l’Etat français étant un parfait exemple de docilité réussie en ce domaine avec la secte des dirigeants choisis et conditionnés à cet effet pour trahir sa population en approuvant tout ce qui va contre son intérêt.
D’ailleurs, pour satisfaire ses copains en se positionnant en faveur du traité comme un modèle d’obéissance, notre illustre Jupiter s’est empressé d’envoyer à la 70ème « Assemblée mondiale de la Santé » un bataillon de représentants de « machins » aux titres ronflants dont on peut se demander à quoi ils peuvent bien servir autrement qu’à parasiter encore et toujours les poches du contribuable ! (2).
Quant à l’aspect plus juridique des amendements déposés concernant le règlement Sanitaire International, il convient de se reporter à l’analyse produite conjointement par les présidentes de l’ONEST et de l’IPSE sous l’intitulé : « Déclaration relative au principe de souveraineté des États et son incompatibilité avec les accords négociés par l’OMS concernant les pandémies (accord et RSI) » Lien (3).
Toutefois, le fait de dénoncer cette conspiration criminelle ne suffit pas. De même, les vétos à la ratification du nouveau traité ne suffiront pas à arrêter les criminels. Ils poursuivront leurs plans de nuisances à multifacettes selon les variantes préétablies. Car, peu importe l’échec du Traité qui visait à légaliser la fin des libertés et droits fondamentaux, la permissivité de la diffusion de chimères et des expérimentations sans consentement sur les êtres humains, en réalité, l’accès à ce confort légal abusif n’est pas indispensable. A l’instar de l’opération COVID-19 d’autres « pandémies » sont déjà programmées pour satisfaire l’appétit de la bête dont les tentacules sont puissamment meurtriers bien que représentant à peine 1% de l’espace occupé par l’humanité.
L’argument, préparé, fera reproche aux pays responsables de n’avoir pas su définir un projet globaliste de santé permettant d’enrayer efficacement les « nouvelles pandémies » dévastatrices…
Il y a donc une grande urgence à réagir massivement et concrètement aux fins de neutraliser les agissements des cartels criminels en arrêtant toutes la chaine des responsables que sont les marionnettes utilisées en première ligne mais également les marionnettistes qui se repaissent de leurs exactions dans l’ombre.
Des plaintes pour crimes contre l’humanité ont déjà été déposées devant la Cour pénale internationale argumentées et appuyées par de nombreuses preuves (1). Le processus juridique d’ouverture d’enquête est prêt à fonctionner. Il manque la seule volonté populaire pour faire pression auprès de l’institution judiciaire afin de l’obliger à exercer la mission qui lui a été attribuée sur le fondement du statut de ROME.
La loi du nombre est la seule loi efficace contre les escrocs.
La dénonciation des crimes contre l’humanité est une obligation non seulement définie par le code pénal, les textes et les traités internationaux, mais elle est également fondamentalement légitime en tant qu’expression de la dignité humaine.
Le respect de l’Etat de droit revient à ceux dont leur vocation les oblige à juger « au nom du peuple » également par référence à la dignité humaine qui comprend le respect physique et le respect psychologique des êtres humains, ainsi que le respect de l’intégrité morale, autant de principes délibérément violés de façon accélérée ces dernières années sans réaction adaptée.
Nous assistons actuellement à une légalisation de la corruption en bandes organisées et à la perpétuation des crimes contre l’humanité, en violation systématique de tous les textes qui visaient à s’en prémunir !
En conséquence, toute personne disposant d’une quelconque autorité publique doit se manifester en soutien individuel des plaintes collectives déposées devant la Cour pénale internationale dénonçant les crimes contre l’humanité (1). A défaut de se manifester concrètement, elle sera considérée comme étant complice de la corruption en bandes organisées et des crimes commis.
Ces rappels successifs ont pour objet d’insister sur la nécessité d’une prise de conscience des dérives abominables passées, actuelles et autres en préparation par des individus sans foi ni loi qui ont déjà sévi par le passé. Au besoin, ces mêmes individus, qui opèrent dans l’ombre de leurs marionnettes, mettront tout en œuvre simultanément pour déclencher une nouvelle guerre mondiale dans le cas où leur agenda ne donnerait pas les résultats escomptés. Nous en percevons déjà la logistique !
"La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas." Citation clairvoyante de Paul Valéry.
Macron a déjà fait les annonces qui lui ont été dictées à toute fin utile anxiogène : « Nous sommes en guerre » et « La bête est là » Ces propos ne sont pas anodins puisque tout évolue selon ces déclarations.
(1) Document en pdf à télécharger
(2) https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA77/A77_DIV1-en.pdf