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L’article 4 sur les dérives sectaires du projet de loi 2157

Nous venons d’assister, à propos de ce sujet, au parfait reflet du régime totalitaire en place.

Nous sommes arrivés à un point où il va falloir tenir une liste de toutes les turpitudes et actes criminels que nous subissons. Les intentions de nuisances sont telles que les petits juges aux ordres auront intérêt à ne pas se tromper de cible. Le refus de se soumettre à des injections expérimentales ou à toute forme d’acharnement de traitement sans fondement sérieux portant atteinte à l’intégrité physique et morale de la personne humaine relève de la légitime défense, n’en déplaise à tous les pisses-copies soudoyés qui se font les chantres du nouveau « Ministère de la Vérité ». 

Car ce texte participe bien à une inversion insidieuse des dispositions internationales et nationales qui protègent la personne humaine dans le but d’imposer, non pas une médecine d’Hippocrate, dans le respect du consentement libre et éclairé, mais bien une thérapie gouvernementale selon des critères qui ne relèvent pas d’une seule et réelle politique de santé publique, ce dont nous avons pu faire le constat depuis nombre d’années maintenant et selon ce qui continue à se pratiquer actuellement dans un contexte de corruption de la commission européenne et de la stratégie non moins alarmante des dérives de l’OMS.

Quand les politiciens corrompus désignent Brigitte LISO, un rapporteur en conflit d’intérêts avec BIG PHARMA, pour interférer dans la commission des lois sur la lutte contre les dérives sectaires dans le domaine de la santé, d’une part, cela pourrait prêter à sourire si les conséquences n’étaient pas aussi graves, d’autre part, il est aisé de comprendre que le recours à des médecines alternatives, non conventionnelles, nuit gravement au développement du gigantesque busines qu’est devenu le marché de la santé, cependant que les structures d’accueil des urgences sont en dégradations constantes !

Des tartuffes criminels planchent sur la prétendue nécessité d’une loi sur les dérives sectaires pendant qu’un nombre croissant de personnes en besoin de soins immédiats souffrent durant des heures, voire meurent dans les couloirs des urgences !?! Et, pourtant, ces moralisateurs s’évertuent à légiférer pour le bien-être de la population !?!

Extrait du projet de loi enregistré à la présidence de l’Assemblée Nationale sous n° 2157 :

Article 4

Après l’article 223‑1-1 du code pénal, il est inséré un article 223‑1‑2 ainsi rédigé :
« Art. 223‑1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.
« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est manifeste, en l’état des connaissances médicales, que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.
« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effet, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et à 45 000 euros d’amende.
« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Bien que cet article 4 de la loi sur les dérives sectaires ait été rejeté par une majorité de députés présents à l’Assemblée Nationale le 12 février 2024, ce qui suppose que ce vote qui relève d’une expression démocratique doit être entériné, cet article a été représenté en séance le 13 février 2024 pour qu’il soit adopté en force et validé cette fois par une majorité présidentielle venue au complet. Ainsi, l’arbitraire fait loi.

Cette loi aurait pu être dénommée « loi anti-RAOULT », selon l’admonestation VERAN !
Elle suppose délibérément, malgré ses sous-entendus prétendument protecteurs pour la population, que toute opinion différente du narratif thérapeutique gouvernemental doit être sanctionnée, le texte, tel que rédigé, permettant toutes les dérives tyranniques possibles.

Ce texte est à l’évidence incompatible avec toute évolution pertinente de la Science. La Science ne progresse que par le doute et la vérification d’hypothèses. Le consensus scientifique ne relève que de cas d’exception.

Ce nouvel arsenal législatif discriminatoire, imposé, en piétinant le vote de la représentation du peuple, par certains députés qui prennent prétexte de défendre la Science témoigne soit du crétinisme ambiant par absence de toute faculté de discernement, soit de la contamination des partis politiciens par la corruption de ceux qui tirent les ficelles en faveur du business de l’industrie pharmaceutique.

En réalité, le plan se poursuit, la validation de cet article 4 était nécessaire à la préparation de la transmission par la « MACRONIE » de la souveraineté des décisions de santé publique à la dictature sanitaire pilotée par l’OMS. Le mal est latent…